frenchhope: réchauffement climatique* + économie* + 0_archivebox*

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    https://www.weforum.org/agenda/2021/06/global-gdp-climate-change-impact
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    https://www.natura-sciences.com/flash...us/climat-pib-mondial-chute-2050.html
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  3. D’autres, comme l’anthropologue Jason Hickel, plaident que la décroissance n’est pas une politique de l’austérité, mais de l’abondance. Il est possible d’imaginer une réduction planifiée de la production dans les nations à revenu élevé de façon à maintenir les niveaux de vie, voire à les améliorer, expliquent-ils. Selon Hickel, cela impliquerait par exemple de redistribuer la richesse existante.

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    il s’agirait de réduire d’environ deux tiers la production de richesse dans les pays développés. « Les usines, les trains, les aéroports ne fonctionneraient qu’un tiers du temps actuel ; l’électricité, le chauffage, l’eau chaude ne seraient disponibles que huit heures par jour ; les propriétaires de voitures n’auraient le droit de les utiliser qu’un jour sur trois ; nous ne travaillerions que treize heures par semaine », conclut Milanović.


    « Caricature ! », répondent les « décroissants ». La réduction de la production occidentale ne se ferait pas de manière aussi transversale. Au contraire : tout ce qui profite à la société continuerait comme avant, alors que l’inutile disparaîtrait. Et Hickel de lister les secteurs « destructeurs sur le plan écologique et qui ont peu, voire pas, d’intérêt pour la société » : le marketing, les 4 x 4, le bœuf, le plastique à usage unique et les combustibles fossiles.

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    aucune quantité de temps libre ne compense les affres de la pauvreté : la possibilité de se libérer des contraintes professionnelles, quitte à ne pas manger, est déjà offerte à tous, sans susciter un engouement démesuré. Selon une formule célèbre, dans la société capitaliste, la seule chose qui soit plus dure que d’être exploité, c’est de ne pas l’être.

    Par ailleurs, l’idée que les loisirs et les services sociaux émettraient moins de gaz à effet de serre repose sur la conviction qu’ils n’impliquent pas l’utilisation de produits manufacturés, et ne requièrent donc ni énergie ni extraction de ressources naturelles. Or les secteurs des loisirs et des services, certes moins « sales » que l’industrie lourde, n’en demeurent pas moins polluants : les instruments de musique sont fabriqués en bois, en métal, en plastique ; les hôpitaux regorgent d’équipements nécessitant des centaines de minerais différents ainsi que des dérivés pétroliers ; le matériel d’escalade, les kayaks, les bicyclettes proviennent, en définitive, de matières que l’on a extraites du sol.

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    l’État social n’est pas l’unique source de notre bien-être : il y a aussi le cinéma, les jouets, les moules à gaufre, les téléviseurs. La rêverie selon laquelle l’absence de tous ces biens de consommation — un retour à une « vie simple » — serait la recette du bonheur séduit les franges les plus aisées de la bourgeoisie, car on rêve mieux de dépouillement lorsque tous ses besoins sont satisfaits. L’une des critiques internes les plus persistantes de l’Union soviétique était que la vie y était grise : on y manquait de vêtements de couleur, de musique et d’ananas. Nous voulons du pain, oui ; mais nous voulons aussi des roses.
    https://www.monde-diplomatique.fr/2021/02/PHILLIPS/62757
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    https://theconversation.com/les-parle...convergences-avec-les-francais-154010
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  5. Sur le plan économique, la région a une dépendance très forte au tourisme de masse. Avant la crise sanitaire de la Covid-19, elle accueillait 30 % des vacanciers internationaux dans le monde. Le secteur fait face à une double menace des canicules et de la dégradation de l’environnement d’une part, et à la nécessaire décarbonation des transports d’autre part. Le pic de consommation d’eau du tourisme coïncide avec celui de l’agriculture qui exigera une irrigation de plus en plus importante, exacerbant les conflits d’usage.

    La crise actuelle précipite ces évolutions et rend inéluctable à court terme un changement de paradigme du développement économique fondé sur la croissance perpétuelle, l’énergie (majoritairement fos-sile) et le gaspillage. Rappelons que le réchauffement climatique constitue aussi une opportunité pour progresser vers des modes de vie plus respectueux de la nature.
    https://theconversation.com/le-bassin...s-changements-environnementaux-152994
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  6. @NDA: ça ne se voit pas trop ou alors ce ne sont pas les bonnes décisions qui sont prises.
    https://www.slate.fr/story/199575/cha...-croissance-emissions-gaz-effet-serre
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  7. Au cœur de la démarche de Time for the Planet, il y a aussi l’open source, condition imposée aux porteurs de projet, c’est-à-dire le fait que leurs innovations pourront être copiées par tous. « Nous proposerons un système de licence qui permettra à n’importe quel entrepreneur dans le monde de copier l’innovation et la commercialiser. Et il aura pour devoir, à son tour, de mettre en open source les améliorations techniques qu’il pourrait apporter à l’innovation ».

    L’open source est un prérequis, aux yeux des six cofondateurs de Time for Planet, dans la lutte contre le réchauffement climatique. « On n’a qu’une génération pour réussir, si bien qu’il faut s’assurer que les innovations les plus pertinentes puissent se répandre au plus vite à l’échelle mondiale », reprend Coline Debayle. D’une certaine façon, on ne cherche pas à créer des entreprises, mais des marchés. »

    Pour garantir ce principe, le fonds d’investissement prévoit de prendre la majorité des parts dans les entreprises créées. « Mais alors qu’habituellement, l’innovateur perd peu à peu le contrôle de sa société à mesure qu’il lève des fonds, nous voulons faire l’inverse, assure Coline Debayle. Dès le début, on établira un pacte prévoyant des objectifs environnementaux et de retour sur investissement. Dès qu’ils seront remplis, le porteur de projet pourra nous sortir à tout moment. » A terme, les six Lyonnais espèrent rassembler un milliard d’euros -entre les actions et les retours sur investissement- et créer 100 entreprises.
    https://www.20minutes.fr/planete/2936...-investissement-citoyen-oeuvre-climat
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